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Bakoroman

bakoroman

Réalisé par : Simplice Ganou – 2011 – Burkina Faso – 62 mn

Synopsis :

Quitter sa famille à sept, douze, seize ans. Partir en terrain inconnu. Élire domicile devant un magasin, dans un vidéo club, aux abords d'une gare routière. Apprendre à se droguer, à mendier, à voler, à fuir, se battre, ne plus avoir peur. Se faire des amis et des ennemis. Intégrer un nouveau monde. S'adapter... Des histoires à écouter, des itinéraires à suivre. Ce film fait, de l'intérieur, le portrait de quelques "Bakoroman" de Gounghin, un quartier central de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso.

Des histoires à écouter, des itinéraires à regarder. Ce film voudrait faire de l’intérieur le portrait particulier de quelques Bakoroman de Gounghin, un quartier central de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso.

Petit Kursaal, 12 novembre à 16:00.

Corps et Âmes

Corps et Âmes

Réalisé par : Matthieu Bron - Mozambique – 2010 - 56 min

Synopsis du film :

Victoria, Mariana et Vasco sont trois jeunes Mozambicains handicapés physiques qui vivent dans la banlieue de la capitale du Mozambique, Maputo.

Victoria transmet l'auto estime reçue de son éducation à d'autres femmes handicapées, en organisant un défilé de mode ; Mariana utilise son énergie pour créer des amitiés et dépasser les barrières architectoniques urbaines et Vasco fait des affaires en réparant des chaussures dans le secteur informel.

Le film explore le regard qu'ils portent sur eux même et sur les autres et pose des questions universelles sur l'acceptation de soi et sur comment trouver sa place dans la société.

Petit Kursaal, 12 novembre à 14:00.

Les Déesses ou Nous Sommes Nés Parfaits

Les Déesses ou Nous Sommes Nés Parfaits

Réalisé par : Sylvie Cachin – 2010 - Suisse / Afrique du Sud – 75 min

Synopsis :

Dans la "nouvelle" Afrique du Sud, des femmes jouent le premier rôle dans leur vie, luttant contre la violence entre les genres, largement répandue dans le pays. Elles font écho à la société pré-coloniale pacifiste, non hétéro-normative et centrée sur les femmes. Elles opèrent ainsi une subtile décolonisation de l'art, de l'histoire et de la société.

Une danseuse-chorégraphe repousse les frontières de son art et nous conduit, avec son univers écarlate, sur les traces d’une histoire du corps des femmes noires : esclavagisé, abusé, immolé, puis reconquis par elles-mêmes. Dans un montage qui joue de leurs désirs, cet essai fait le portrait de déesses contemporaines.

Petit Kursaal, 12 novembre à 10:30.

Vivre ici

Réalisé par : Mohamed Zran – Tunisie – 2009 – 2h04 min - Arabe, Français, Sous-titres anglais

Synopsis :

Derrière le comptoir de sa boutique, Simon, un épicier de confession « juive », est depuis toujours, le confident, le guérisseur et la mémoire des habitants de Zarzis, une petite ville du sud-est Tunisien.

Dans sa boutique, une galerie de portraits se croise : Tahar l’instituteur progressiste ; Hadi le peintre maudit; Fatma la marieuse; Béchir le chauffeur de taxi…

Tour à tour, l’épicerie se transforme en tribune politique, philosophique, où chacun donne sa vision du monde.

Centre Diocésain, 11 novembre à 20:00.

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Paris, Mon Paradis

paris-mon-paradisRéalisé par : Eléonore YAMEOGO – France – Burkina Faso – 2010 – 68 min

"Tout va bien". Ils ne rentreront pas. Ils sont venus, ils restent. Ils envoient de l'argent au pays, et de bonnes nouvelles. Ils ne laissent rien paraître des difficultés morales et matérielles dans lesquelles ils sont souvent. Ils entretiennent le rêve, le mythe d'un eldorado. D'une immigration synonyme de réussite et de bonheur.

Je suis Africaine. J'ai grandi dans ce mythe. Je veux désormais comprendre et montrer les mécanismes d'un phénomène qui entretient les illusions et les désillusions.

Dossier de presse (PDF)

Petit Kursaal, 11 novembre à 18:00.

Sur les Traces du Caméléon

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Réalisé par : Krysia Dowmont Perro - Suisse 2010 56 mn

Synopsis :

Le film retrace la vie de Paco Yé, grand danseur percussionniste et compositeur burkinabé.

Né à Bobo-Dioulasso - carrefour de cultures au Burkina Faso - et mort en 2002 à Genève à l'âge de quarante ans, il a porté loin et haut la culture de son pays.

En 2004, quelques mois après sa disparition, la réalisatrice revient au Burkina sur les traces laissées par l'artiste. Pendant plusieurs années, en Europe et en Afrique, elle rassemble les témoignages et les archives et reconstitue son parcours fulgurant sous les deux points de vue de l'Afrique et de l'Europe. L'évocation nostalgique restitue en même temps toute une page de l'histoire de la culture musicale de sa ville natale.

Au fil des paroles, des images et des musiques, l'artiste renait puis disparaît sur une ultime révérence.

Petit Kursaal, 11 novembre à 16:00.

L’Ivresse d’Une Oasis

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Réalisé par : Hachimiya Ahamada - Comores - 2011 - 88 min

Synopsis :

Aux Comores, on nous appelle les « Je Viens » et la famille ce sont les « Je Reste ». Comme tout les ‘Je Viens’, mon père retourne quelques semaines dans son village natal en 1991 pour construire notre maison familiale. Il nous fait part des avancées des travaux dans une lettre vidéo VHS. Aujourd’hui cette maison attend toujours notre installation. Avec la famille, même si les liens du sang sont bien là, les liens du sol esquissent une frontière entre nous. Une histoire individuelle et des histoires collectives comoriennes : cette frontière qui s’étend fissure notre Archipel.

Petit Kursaal, 11 décembre à 10:30.

Indochine, sur les traces d'une mère

Indochine, sur les traces d'une mère

Réalisé par : Idrissou MORA KPAI - 2010 - Benin - 71 min

Synopsis

Entre 1946 et 1954 plus de 60 000 soldats d’Afrique noire furent engagés pour combattre les Viet Minh. Ces deux groupes de “ colonisés ”, que les circonstances historiques ont voulu opposer, vont tisser des liens entre eux. Nombreux seront les soldats africains qui prendront pour épouses des femmes vietnamiennes.

De ces unions naîtront des enfants Métis. A la fin de la guerre, l’armée coloniale ordonne le rapatriement en Afrique de tous les enfants noirs, officiellement pour les protéger des Vietminh. Si certains enfants sont rentrés avec père et mère, d’autres ont simplement été enlevés par leurs pères, laissant seules les mères derrière.

Certains de ces enfants non reconnus et abandonnés dans les orphelinats, étaient mis aux enchères pour des adoptions de masse destinées aux officiers africains, à l’instar de Christophe. Ce dernier a longtemps évité d’affronter les blessures et les troubles d’identité provoquées par une séparation brutale avec sa mère et son pays natal. A travers le voyage qu’entreprend Christophe vers son passé longtemps occulté, ce film ouvre un chapitre peu connu de la guerre d’Indochine.

Centre diocésain, 10 novembre à 20:30.

Le Premier Rasta

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Réalisé par :Hélène Lee – 2010 – 1h25

Au début du siècle dernier, le tout jeune Leonard Percival Howell (1898-1981) quitte la Jamaïque, se fait marin et parcourt le monde. Sur sa route, il croise toutes les idées qui agitent l’époque. Du bolchevisme à la new thought, de Gandhi à l’anarchisme, du garveyisme à la psychanalyse, il s’agit de trouver sa terre promise. C’est avec le cocktail de ces idées que Leonard “Gong” Howell revient en Jamaïque pour fonder en 1939 la première Commune rasta, le Pinnacle.

De là va s’élaborer le mode de vie et de pensée qui nourrira la culture du reggae que Bob Marley répandra à travers le monde.

Trente ans après la mort du chanteur, il est grand temps de rendre hommage à Leonard Percival Howell Le Premier Rasta, dont le discours révolutionnaire, politique et social résonne avec les mouvements altermondialistes d’aujourd’hui

Les critiques de la presse

Le Journal du Dimanche – Alexis Campion

C'est là tout l'art et le côté unique de ce doc, également musical : passé le collage historique Hélène Lee observe avec tact et simplicité cette pensée foncièrement écolo.

Les Inrockuptibles – Vincent Ostria

Un film qui décrit avec une imparable clarté comment, à l'époque où Hergé caricaturait les Africains dans "Tintin au Congo", des Jamaïcains comme Howelle et Marcus Garvey posaient les bases d'une reconnaissance du peuple noir. La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Libération – Stéphanie Binet

Avec ce film, Lee se débarrasse du folklore (les fumeurs de ganja, les dreadlocks) pour s'attacher méthodiquement au parcours de Leonard Percival Howell et en saisir l'essence du message sans pour autant enlever le mysticisme du personnage.

Hélène Lee, journaliste spécialiste des musiques d’Afrique et des Caraïbes

Après dix ans de voyages à travers le monde et l'exercice de nombreux métiers, Hélène Lee a entamé en 1979 une carrière de journaliste au quotidien Libération. Elle a traduit plusieurs ouvrages et publié chez Flammarion Le Premier Rasta en 1999... et largement contribué à faire connaître la culture rasta. Elle est a pris le nom de Lee après son mariage avec un rasta de Negril, Joseph Lee.

Un voyage sur les traces de Howell, à travers la Caraïbe, sur les chantiers de Panama et dans le New York de Marcus Garvey et de la Harlem Renaissance. Au retour en Jamaïque, les débuts du mouvement sont marqués par les persécutions policières. Incarcéré, Leonard Howell, alias le Gong, ressort inébranlé de cette épreuve.

Journaliste, auteur, traductrice, réalisatrice, elle continue depuis 40 ans à faire découvrir les artistes, la pensée et la musique noire, d’Afrique et des Caraibes. Que se soit avec ses essais « Rockers d’Afrique » (Albin Michel 1987), « Voir Trench Town et mourir » (Flammarion 2003), « Le Premier Rasta » (Flammarion 1999), ses films « Jimmy Cliff, moving on » pour Arte, « Bon baisers de Barbès » pour France 3, ou encore ses articles pour libération, actuel ou Géo, Hélène Lee n’a eut de cesse de défendre et de mettre sur le devant de la scène française des artistes tel que Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly, ou encore Selif Keita.

Son travail à la fois artistique et militant à permis de donner à cette musique et cette culture la place qui leur revient.

« Le premier Rasta » un film d’Helene Lee : Pinnacle Way

Le chemin du Pinnacle, avec la participation de Count Ossie drummers, Bernard Collins/Abyssinians, Max Romeo, Bunny Lee… 2010-France, couleur et N&B, d’une durée de 1h25, produit par Kidam. Sortie Nationale le 27 avril 2011. Scénario et réalisation Hélène Lee d’après son livre « Le Premier Rasta » (Flammarion).

La Bande son du film est signé par des producteurs historiques (Bunny Lee) et de jeunes talents de la scène internationales (100 grammes, Tu Shung Pen, Groundation), la musique live inclut notamment « Max Romeo », « The Abyssinians », et les batteurs de Count Ossie (Mystic Revelationof Rastafari) avec Bro Royer et Filmore Alvaranga, membre de la mission en Afrique de 1961, et Miss Audrey Whyte-Lewis, membre du pinnacle.

10 ans après son livre « Le Premier Rasta », la journaliste Hélène Lee repart pour la Jamaïque, caméra à l'épaule, sur les traces de Leonard Percival Howell, initiateur et catalyseur du Mouvement Rastafari, considéré par certains comme son fondateur. Entre images d'archives et rencontres avec ceux qui l'ont côtoyés et croisés, Hélène Lee réalise un film documentaire fort, passionnant et émouvant sur la vie et la personnalité passionnantes de Leonard Percival Howell, dis le « Premier Rasta » . Bien loin des clichés conventionnels et des stéréotypes, Hélène Lee invite à découvrir une figure emblématique et incontournable du Mouvement Rastafari trop longtemps occultée. Un homme qui, bien au-delà de la fondation de la première communauté Rastafari du Pinnacle, a jeté les bases de la pensée altermondialiste...

Le documentaire « Le premier Rasta » a été récompensé au Festival du film insulaire de Groix en 2010 par le prix du public.

Synopsis du « Premier Rasta »

Au début du siècle dernier, le tout jeune Leonard Percival Howell (1893-1981) quitte la Jamaique, se fait marin et parcourt le monde.

Sur sa route, ils croisent toutes les idées qui agitent l’époque.

Du Bolchevisme à la New Thought, de Gandhi à l’anarchisme, du garveyisme à la psychanalyse, il s’agit de trouver sa terre promise. C’est avec le coktail de ces idées que Leonard « Gong » Howell revient en Jamaïque pour fonder en 1939 la première communauté Rasta, le Pinnacle.

Delà va s’élaborer le mode de vie et la pensée qui nourrira la culture du Reggae que Bob Marley répandra à travers le monde.

Trente ans après la mort du chanteur, il est grand temps de rendre hommage à Leonard Percival Howell, le premier rasta, dont le discours révolutionnaire, politique, et social résonne encore aujourd’hui.

L’histoire du mouvement Rasta est très mal connue. Né aux alentours de 1930, en pleine période coloniale, il a été systématiquement marginalisé et persécuté.

Tout a été fait notamment pour effacer le souvenir de son fondateur, Leonard Percival Howell, dit le « Gong ».

Pourtant c’est à lui que Bob Marley doit son message et jusqu’à son nom, « Tuff Gong », Hélène Lee travaille depuis près de 30 ans à exhumer cette histoire.

Elle a publié en 1999 une biographie de Leonard Howell « le Premier Rasta », traduite en plusieurs langues, qui s’est imposée comme ouvrage de référence.

C’est une histoire extraordinaire : jeté sur les routes du monde par les exodes massifs du début du 20° siècle, Leonard Percival Howell a fait plusieurs fois le tourde la terre.

Personnage flamboyant, énigmatique, il a cristallisé les aspirations des millions d’être humains que ce nouvel ordre dépossédait de leurs terres, de leurs langues et de leur identité.

Son attitude irréductible a fait de lui le martyr de la Jamaïque des indépendances, qui l’a emprisonné, spolié de ses biens, tourné en ridicule, jusqu’à effacer son nom de l’histoire. Mais il a vécu assez longtemps pour voir le Reggae, la nouvelle musique Jamaïcaine, diffuser son message sur les cinq continents, et lorsqu’il est mort, deux mois avant Bob Marley, il était évident que son mouvement était là pour durer. Mais le Reggae est tombé, à son tour, dans les mains du système, et à tout fait pour donner des Rastas une image dérisoire. Le cliché Rasta hirsute, perdu dans la fumée de ses joints, a réussi à occulter la dimension politique.

Pensez donc : en pleine époque coloniale, un nègre qui défie les puissances impériales et se bâtit un monde à part, indépendant du contrôle policier et du système de l’argent ? Une culture populaire qui insuffle un contenu marxiste dans le concept Biblique de Babylone ?

Un mouvement bâti, non pas sur un dogme, mais sur un mode de vie respectueux des individus ?

Face à l’étonnante longévité du message et à sa diffusion dans toutes les strates de la société, cette dimension révolutionnaire commence à refaire surface. Mais comment faire un film sur un homme dont il n’existe qu’une poignée de photos, dont les écrits ont été systématiquement détruits, dont le souvenir même a été banni, au point que les jeunes Rastas ignorent jusqu’à son nom ?

Sans peur, face à un système mondial tout puissant. Un exemple de courage moral inouï, à une époque où les Nègres en Amériques et en Afrique, étaient considérés encore comme des sous-hommes, soumis aux travaux forcés et à la discrimination raciale. Ils ont payé le prix de cette audace par des persécutions incessantes et une constante désinformation visant à les faire passer pour des fous – mais ils ont gagné.

Le Reggae est partout, et des millions de jeunes se reconnaissent dans son message. La sortie du documentaire marque la fin du silence.

La musique a toujours accompagné et même véhiculé la pensée Rasta. Des tambours de Count Ossie au reggae de Marley, en passant par le Dub de King Tubby et la poésie de Linton Kwesi Johnson, leur musique fut leur principal outil de propagande et défense, comme fut le Blues pour les esclaves américains. C’est donc tout naturellement qu’elle tient une place centrale dans le film.

Le documentaire "Le Premier Rasta" a été diffusé sur la chaine France Ô.

La Rodia, en présence de la réalisatrice, 10 novembre à 18:00 et 22:00.

La blessure de l'esclavage

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Réalisé par : Ethmane Diagana – France / Mauritanie – 2009 – 52 min

Synopsis :

En 2002, je pars en vacances dans le village natal de ma mère, où je tombe amoureux d'une fille. Notre amour est impossible, elle est l'enfant des esclaves de mes grands parents.

Je suis d'une famille noble et maraboutique au sommet de la société Soninké. Ma société est hiérarchisée, très inégalitaire et esclavagiste.

En août 2007, le gouvernement mauritanien a pourtant adopté une loi criminalisant et réprimant la pratique de l'esclavage, abolie en 1960 et 1981.

Je vais à la rencontre de ma société, la société mauritanienne, pour comprendre…

Petit Kursaal, 10 novembre à 16:00.

Sombras

sombras

Réalisé par : Oriol Canals – Espagne – 2009 – 94 mn.

Synopsis :

Chaque année, comme s'ils participaient d'un étrange rituel printanier, des milliers d'immigrés viennent naufrager face aux côtes espagnoles. Parfois j'ai l'impression que ces visages sans nom habitent mes pensées depuis toujours… Et chaque année la même vague, la même histoire, comme si leur destin inévitable était de venir s'échouer sur les plages de mon pays…

Comment montrer des gens qui ont peur d'être vus ? Comment raconter leur histoire, alors qu'ils n'aspirent qu'à oublier ?

Petit Kursaal, 10 novembre à 15:00.

Bîr d'eau, a walkmovie

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Réalisé par : Djamil Belloucif – 2010 – Algérie - 77 min

Synopsis :

Journée ordinaire d'une rue d'Alger, où un film se fait et se défait sous le regard d'une caméra.

Petit Kursaal, 10 novembre à 11:00.

Kinshasa Symphony

Kinshasa-Symphony

Réalisé par : Martin Baer et Claus Wischmann – Allemagne – 2010 – 98 min

Synopsis :

Dans l'obscurité totale, deux cents musiciens jouent la neuvième symphonie de Beethoven "L'hymne à la joie". Une panne de courant intervient quelques mesures avant l'achèvement du dernier mouvement mais pour le seul orchestre symphonique du Congo, ceci est le dernier de leurs soucis. En quinze ans d'existence, la formation de l'Orchestre Symphonique a survécu à deux coups d'état et une guerre civile. Heureusement, il y a la passion pour la musique et l'espoir d'un avenir meilleur.

Dossier de presse (pdf)

Centre diocésain, 9 novembre à 20:30.

Kukan kurcia ou Le Cri de la Tourterelle

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Réalisé par : Sani Elhadji Magori – Niger - 2010 - VOSTF - 62 min.

Synopsis :

Un long voyage du Niger à la Côte d’Ivoire, à la rencontre des Nigériens poussés à l’exil il y a vingt ans par les chants de Hussey, cantatrice adulée. Aujourd’hui, elle va vers eux avec une chanson qui leur demande de rentrer au pays.

Le Cri de la tourterelle est de ces œuvres qui, à travers la recherche de la compréhension d’un passé proche, nous amènent au plus près de la réalité d’aujourd’hui.

Les thèmes abordés sont universels : la musique, l’immigration, l’éloignement, la famille.

Dans ce road-movie qui nous conduit de la brousse nigérienne à Abidjan, Sani Magori nous fait découvrir des personnages attachants qui croisent son héroïne, vieille chanteuse hors du commun. C’est cette façon de traiter ce long voyage et de lui donner du sens par cette structure narrative qui séduit.

Centre diocésain, 9 novembre à 18:00.

Pierre Rabhi, La reconquête du songe

PIERRE-RABHI

Réalisé par : Marie-Dominique Dhelsing – 2011 - France - 52 minutes

Synopsis :

Agriculteur, penseur, écrivain, précurseur de l'agroécologie, Pierre Rabhi fait partie de ces humanistes qui élaborent des utopies réalistes.

Le film part, de l'Algérie à la France en passant par le Burkina Faso, à la rencontre de cet homme et de son parcours singulier, porté par un combat incessant pour l'insurrection des consciences et les valeurs de ce qu'il nomme la "sobriété heureuse".

Salle Ory - Kursaal, 9 novembre à 16:30.

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