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Petit Jo enfant des rues

Réalisé par Daniel Kamwa

Avec Jean Dujardin, Pierre Niney, Fatou N'Diaye

Entre les lignes, la vie de "Petit Jo, enfants des rues" contée par l'écrivaine camerounaise Evelyne Mpoudi Ngolle, en a ému plus d'un. Le film, adapté de ce roman, ne perd rien de l'intensité de cette histoire. Le réalisateur Daniel Kamwa met à l'écran ce petit garçon métis abandonné à 7 mois, puis recueilli par un viel homme seul. Une épopé rafraîchissante rappelant que l'amour peut naître de manière inopinée entre deux êtres.

Mais un concours de circonstances fait passer le personnage principal du bonheur à la désillusion. Voilà Petit Jo à la rue, vivant aux côtés de jeunes infortunés comme lui. Il faut s'arracher chaque jour, du matin au soir pour survivre dans cette jungle sombre où la loi du plus fort règne. Mais pour eux la devise des mousquetaires s'applique sans hésitation : tous pour un, un pour tous.

BIO-FILMOGRAPHIE DE DANIEL KAMWA

Daniel Kamwa  

Né au Cameroun, Daniel Kamwa est dans le métier du cinéma depuis près de 45 ans. Après une formation de comédien au Cours Simon, il entre dans la troupe de Peter Brook pour 2 ans. Ensuite il joue aussi bien au théâtre, au cinéma, qu’à la télévision ; tout en suivant des études de cinéma à Paris VIII.

C’est en 1972-73 qu’il réalise son premier court métrage « Boubou-Cravate » avec, pour partenaire féminine, Marpessa DAWN*, la vedette d’Orfeu Negro (Palme d’Or au festival de Cannes 1959 et l’Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1960). « Pousse-Pousse » son premier long métrage voit le jour en 1975 et connaît un large succès commercial et populaire.

Désireux de se familiariser avec le numérique, il s’inscrit en 2003 à l’AFPA d’Issoudun et obtient le Titre Professionnel Niveau III de « Opérateur de prise de vues et monteur sur système virtuel ». Auteur-Producteur-Réalisateur-Acteur, il est aussi comédien de doublage. Il a prêté sa voix en français à des acteurs de premier plan dans "Vivre et laisser mourir » – « L’ombre et la proie» –
« Gorilles dans la brume » – « Brisco County Junior » - « Meurtres au paradis » - « Banshee » - Sans oublier la voix française de Morgan Freeman dans le rôle du Président Nelson Mandela dans « INVICTUS » de Clint Eastwood.

• 2018/2019 : Production/Réalisation de « PETIT JO » d’après un roman éponyme; Edicef/Hachette

• 2014/2016 : Conception, Production et réalisation de « Turbulences » 1er long métrage d’animation Africain en 3D-4K. Sélection officiel au DIFF (Afrique du Sud). Primé au SDBFF (Etats-Unis).

• 2007/2008 : Production/Réalisation « Mâh Saah-Sah » fiction de 91 min.
Prix Cinétoile/Africalia Fespaco 2009. Sélectionné par plusieurs autres festivals:
Pusan Corée du Sud ; Brésil ; Maroc, Nigéria notamment.

• 2005 : Joue au théâtre dans « Salomé ».

• 2004 : Divers exercices de styles en DV et HDV – Prises de vues suivies de montage.

• 2002/2003 : Formation à la prise de vue et au montage sur système virtuel à l’AFPA d’Issoudun.
Stages à TV5, chez VM Productions et à l’UNESCO.

• 1997/98 : Production/Réalisation « Le Cercle des Pouvoirs » fiction de 105 min.
Festival du Film d’Histoire à Pessac 2011.

• 1993/94: Production/Réalisation « Totor » fiction de 91’ Sélection Cannes Junior 1995.
Prix Unicef . Fespaco 1995. Festivals de : Mannheim ; Namur ; Montréal ; Francfort

• 1990/91: Réalisation/animation « Vidéo-Lire » magazine littéraire 5 x 27 min. France2.

• 1986/87 : « Messe à Melen » documentaire de 11 min. - Label de Qualité CNC.

• 1983/84 : « Les Fleurs du terroir » film d’entreprise de 19 min.

• 1982 : -> « CAMAIR Dix ans d’essor » film d’entreprise de 45’ pour Cameroon Airlines.
-> « Nous les Fous du volant » docu-fiction de 10 min. commandité par l’Association des Assureurs Camerounais.

• 1981 : Production/Réalisation de : -> « Notre Fille » fiction de 91 min.
Prix d'Interprétation masculine à Carthage 1982. Festival de Locarno
-> « Danse Automate, Danse » documentaire-fiction de 6 min.

• 1980 : Production/Réalisation « AKUM » documentaire-fiction de 22 min.

• 1979 : Production/Réalisation « La Ligne de Cœur » fiction de 15min

• 1977 « Les Dieux Noirs du stade » : Portrait de Chantal REGA. Production SFP.

• 1975 : Production-Réalisation « Pousse-Pousse » long métrage de fiction de 115 min.
Grand-Prix du Meilleur Scénario 1974 au concours de l’ACCT.

• 1971/72 : Production-Réalisation « Boubou-Cravate » fiction 30’ Label de Qualité CNC.
Festivals de : Melbourne ; Oberhausen ; Téhéran

• 1974/1977 : Université de Paris VIII (théâtre-arts-cinéma)

• 1969/2005 : Comédien dans diverses productions au théâtre, au cinéma et à la télévision, tant en France qu’à l’étranger, notamment « L’Homme Pressé » avec Alain DELON.

• 1968/1970 : Centre International de Recherche Théâtrale dirigé par Peter Brook.

• 1965/1968 : Cours d’Art Dramatique René Simon à Paris.
Parrainé par Michèle Morgan et François Perrier.

 

OSS 117 alerte rouge en Afrique noire

Réalisé par Nicolas Bedos

Avec Jean Dujardin, Pierre Niney, Fatou N'Diaye

1981. Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117, est de retour. Pour cette nouvelle mission, plus délicate, plus périlleuse et plus torride que jamais, il est contraint de faire équipe avec un jeune collègue, le prometteur OSS 1001.

Biographie

Nicolas Bedos  

Nicolas Bedos, né le 21 avril 1979 à Neuilly-sur-Seine, est un dramaturge, metteur en scène, scénariste, réalisateur, acteur et humoriste français.

Fils de l'humoriste Guy Bedos, il se fait connaître à partir de 2004 dans le milieu du théâtre en écrivant quatre pièces. Auteur de plusieurs livres à succès, il écrit également un certain nombre de scénarios pour la télévision.

Après un passage à la radio sur Oui FM, il tient une chronique humoristique intitulée La Semaine Mythomane dans l'émission Semaine critique ! de Franz-Olivier Giesbert à la rentrée 2010, puis intègre On n'est pas couché de Laurent Ruquier en 2013.

En 2017, son premier film en tant que réalisateur, Monsieur et Madame Adelman, sort dans les salles, film pour lequel il est également le co-scénariste et l'acteur principal. Son deuxième film, La Belle Époque sort en 2019. Nommé à onze reprises aux César 2020, Nicolas Bedos reçoit celui du meilleur scénario original.

Filmographie

En tant que réalisateur ;

2017 : Monsieur et Madame Adelman

2019 : La Belle Époque

2021 : OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire

En tant que scénariste

2009 : Folie douce (téléfilm) de Josée Dayan

2010 : Ni reprise, ni échangée (téléfilm) de Josée Dayan

2011 : Bouquet final (téléfilm) de Josée Dayan

2012 : Les Infidèles, segment La Question écrit avec Jean Dujardin, réalisé par Emmanuelle Bercot

2013 : Amour et Turbulences d'Alexandre Castagnetti

2017 : Monsieur et Madame Adelman coécrit avec Doria Tillier

2019 : La Belle Époque

En tant qu'acteur

2010 : Ni reprise, ni échangée (téléfilm) de Josée Dayan : Jean-Pierre

2011 : Bouquet final (téléfilm) de Josée Dayan : Antoine

2012 : L'amour dure trois ans de Frédéric Beigbeder : Antoine

2012 : Populaire de Régis Roinsard : Gilbert Japy

2013 : Le Débarquement 1 et 2, émission à sketchs diffusée sur Canal+

2013 : Amour et Turbulences d'Alexandre Castagnetti : Antoine

2014 : L'Art de la fugue de Brice Cauvin : Louis

2016 : L'Invitation de Michaël Cohen : Léo

2017 : Monsieur et Madame Adelman de Nicolas Bedos : Victor

2021 : Fantasmes de David et Stéphane Foenkinos

 

Mignonnes

Réalisé par Maimouna Doucouré

Avec Fathia Youssouf, Medina El Aidi, Esther Gohourou
2020 – France – 1h35

Amy, 11 ans, rencontre un groupe de danseuses appelé : « Les Mignonnes ». Fascinée, elle s’initie à une danse sensuelle, dans l’espoir d’intégrer leur bande et de fuir un bouleversement familial...

Point de vue à hauteur d'enfant

Le récit de Mignonnes adopte, comme dans Maman(s), le premier court métrage professionnel de Maimouna Doucouré, le point de vue d’une préadolescente. La réalisatrice explique : "Mon court et mon long métrage sont assez différents, mais ils ont en commun ce point de vue à hauteur d’enfant. J’aime dire aux spectateurs à qui je présente mon film que j’ai à cœur qu’ils puissent se mettre dans la peau d’une petite fille de onze ans le temps de la projection. Je souhaite qu’ils puissent sentir sa respiration, son pouls, son cœur qui bat. Je ne veux pas qu’on l’observe à distance ou qu’on la juge. C’est le défi émotionnel du film : créer un lien presque fusionnel entre le spectateur et mon personnage principal. Passer par le cœur pour atteindre l’esprit."

Qui est Maimouna Doucouré ?

Après des études de Biologie, Maïmouna Doucouré se lance dans le cinéma suite à un concours de scénario qui lui permet de réaliser un premier film autoproduit. Elle écrit ensuite Maman(s), une histoire à hauteur d’enfant, avec un soupçon autobiographique. Produit par Bien ou Bien Productions, le film est sélectionné dans près de 200 festivals à travers le monde et remporte plus de 60 prix, dont le prix international au festival de Sundance, le grand prix au festival de Toronto ainsi que le César 2017 du meilleur court métrage.

Son premier long métrage, Mignonnes, aborde le thème de l’hypersexualisation des pré-adolescentes et reçoit en janvier 2020 le Prix de la Meilleure Réalisation au Festival de Sundance ainsi que la Mention Spéciale du Jury International à la Berlinale (Génération).

Méthode originale

Pour trouver les cinq actrices principales, Tania Arana a entrepris un casting sauvage de six mois où elle a rencontré 700 petites filles. La directrice de casting a trouvé Fathia Youssouf, qui joue Amy, à la toute fin des recherches. Pour aider les comédiennes à trouver leur personnage, la réalisatrice Maimouna Doucouré a fait correspondre chacune des "mignonnes" à un animal donné : un chien pour Coumba, un ours très ancré au sol pour Jess, ou un serpent sensuel et prêt à mordre pour Angelica… Elle se rappelle :

 

 

"Pour Amy, au début du film, par exemple, je lui disais que son personnage était un chaton chétif, fragile, seul au monde, ce qui l’aidait à trouver une attitude et un regard courbés, délicats. Au fur et à mesure, je lui disais que ce chaton allait devenir un chat, puis qu’il allait se transformer en panthère noire. Cette méthode lui a permis de s’y retrouver dans les séquences, car nous ne tournions pas dans l’ordre. En outre, il y a eu un gros travail de préparation avec l’ensemble des actrices. Je leur ai beaucoup raconté l’histoire, car je ne donne jamais le scénario à mes acteurs enfants par peur de l’effet "récitation de poésie"."

Retrouvailles

Maïmouna Gueye qui jouait la mère dans Maman(s), incarne dans Mignonnes la maman d’Amy. Maimouna Doucouré raconte : "Elle est dotée d’une forte présence à l’image… C’est une actrice incroyable, puissante. J’étais heureuse de ce qu’elle m’avait donné dans Maman(s). C’est une actrice qui n’a pas d’ego, qui est totalement au service du réalisateur. Elle me fait une confiance aveugle, tout est fluide avec elle. Elle se donne corps et âme dans un rôle, c’est un vrai bonheur."

Des couleurs saillantes

Les couleurs du film sont saillantes et accrochent l’œil du spectateur. Côté photographie, Maimouna Doucouré voulait une image en lien avec la représentation du monde que se fait son personnage principal. "Quand Amy est à l’extérieur avec ses copines, le monde est très coloré, solaire et lumineux. Et chez elle, les tonalités sont différentes et progressivement, l’image s’assombrit. Je voulais que les couloirs de l’appartement aient l’air de rétrécir au fur et à mesure du récit. Nous avons travaillé la lumière dans les intérieurs avec cette idée en tête. L’image est donc étroitement liée aux émotions et aux ressentis d’Amy", précise la cinéaste.

La danse comme prétexte

Le twerk, cette danse sensuelle faite de déhanchés provocants que pratiquent les jeunes filles de Mignonnes, crée un décalage avec leur corps en transition. Pour Maimouna Doucouré, la danse est en fait un prétexte pour filmer cet âge transitoire où le corps des jeunes filles se métamorphose et engendre de multiples questionnements (parfois aussi un rejet de sa propre image). Elle note :

"Bien sûr, ces très jeunes filles ne se rendent pas compte du message qu’elles renvoient en dansant et s’exposant ainsi. De mon point de vue, l’attitude provocante de certaines, qui ont l’air émancipé, est liée à un besoin d’amour. Les réseaux sociaux viennent compliquer la donne, car chaque « like » reçu engendre une décharge de dopamine et a contrario, l’absence de plébiscite suscite une baisse de l’estime de soi. Tout cela est préoccupant, et nous sommes tous impliqués par ces mécanismes aujourd’hui."

Biographie

Maimouna Doucouré  

Maïmouna Doucouré est une scénariste et réalisatrice franco-sénégalaise.

Le film Maman(s) qu’elle a écrit et réalisé, a remporté de nombreux prix internationaux dont le prix du Meilleur Court métrage au Festival de Toronto au Canada, le prix du meilleur court-métrage international au Festival du film de Sundance aux États-Unis et le César 2017 du Meilleur court métrage.

Maïmouna Doucouré est née à Paris. Sa mère commerçante et son père éboueur sont venus tous deux du Sénégal, ils s'installent dans le 19e arrondissement de Paris. Après un bac S, elle obtient une licence en biologie de l’université Paris 6. En parallèle à ses études, elle suit des cours de théâtre au sein du laboratoire de l'actrice Hélène Zidi.

Son premier court-métrage auto-produit Cache-cache sorti en 2013, et réalisé dans le cadre d'un concours de scénario initié par l'union sociale pour l'habitat, reçoit le 3e Prix de HLM sur Cour(t) et le coup de cœur du jury du festival Génération Court d’Aubervilliers.

Son deuxième film, Maman(s), a été présenté dans plus de 200 festivals et a remporté près de 60 prix internationaux dont le prix du meilleur court-métrage international au Festival de Sundance, le grand prix au Festival de Toronto ou le grand prix CinéBanlieue, qui a été remis à Maïmouna Doucouré par la Ministre de la Culture, Fleur Pellerin. Il est récompensé du César 2017 du Meilleur court métrage. Avec ce film, elle a participé au dispositif Talents en courts, partenariat entre Jamel Debbouze6 et le CNC. Il évoque l'histoire douloureuse d'Aïda, une enfant confrontée à la polygamie dans sa famille. Face au désarroi de sa mère la fillette décide de se débarrasser de la nouvelle femme de son père. Maimouna Doucouré s'est inspirée de sa vie pour raconter cette histoire.

En janvier 2017, de nouveau à Sundance, elle reçoit le Global Filmmaking Award pour son projet de long métrage Mignonnes9. Lors de l'événement, la réalisatrice représentait la France parmi les quatre réalisateurs choisis dans le monde entier et elle est parrainée par la réalisatrice afro-américaine Ava DuVernay10. Forte de ce soutien, le long métrage Mignonnes sort sur les écrans en août 2020. Il évoque l'hypersexualisation des pré-adolescentes à travers l’histoire d’Amy, 11 ans, qui intègre à Paris un groupe de danseuses de sa génération. Depuis sa sortie sur la plateforme Netflix, le film fait l'objet de vives controverses aux États-Unis, accusé par la droite conservatrice de promouvoir « l’exhibition obscène des parties génitales de mineures, sollicitant un intérêt lubrique pour le sexe », alors même que le film entend dénoncer la sexualisation précoces des jeunes filles, soumises à la dictature des apparences amplifiée par les réseaux sociaux.

 

Moffie

Réalisé par Oliver Hermanus

Avec Kai Luke Brummer, Mark Elderkin, Michael Kirch
2019 – Afrique du Sud, Grande Bretagne – 1h44 – VOSTF

1981, Nicholas a 16 ans, comme tous les jeunes blancs Sud-Africains de son âge, il doit accomplir son service militaire pendant deux ans. Durant cette période, le gouvernement sud-africain, blanc, raciste et ségrégationniste, mène une politique étrangère qui vise à combattre les communistes et die swart gevaar : "le danger noir". Nicholas est envoyé sur le front au sud de l’Angola pour défendre le régime de l'apartheid. Il tente alors de survivre tant aux horreurs de la guerre qu’à la brutalité de l'armée.

Sélections officielles :

76 BIENNALE DI VENEZIA (VENISE)

IFFR – INTERNATIONAL FILM FESTIVAL ROTTERDAM (ROTTERDAM)

BFI LONDON FILM FESTIVAL (LONDRES)

GUADALAJARA INTERNATIONAL FILM FESTIVAL (GUADALAJARA – MEXIQUE)

THESSALONIKI INTERNATIONAL FF (THESSALONIQUE)

LUXEMBOURG CITY FILM FESTIVAL (LUXEMBOURG)

TROMSØ INTERNATIONAL FILM FESTIVAL (TROMSØ)

DUBLIN INTERNATIONAL FILM FESTIVAL (DUBLIN)

BIFA – BRITISH INDEPENDENT FILM AWARDS 2019 (LONDRES)

FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE MARRAKECH (MARRAKECH)

Biographie

Oliver Hermanus  

 

Le père de Nafi

Réalisé par : Mamadou Dia

Avec Saikou Lo, Alassane Sy
2019 – Sénégal – 1h47 – VOSTF

Dans une petite ville du Sénégal, deux frères s’opposent à propos du mariage de leurs enfants. Deux visions du monde s’affrontent, l’une modérée, l’autre radicale. Les jeunes Nafi et Tokara rêvent, eux, de partir étudier à Dakar, la capitale, et de vivre avec leur époque. A la manière d’une tragédie, et alors que s’impose la menace extrémiste, les amoureux doivent trouver un chemin pour s’émanciper des conflits des adultes.

 

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