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Vernissage de l'exposition « Vues d'Afrique »

Vues d’Afrique, du 6 au 14 novembre, de 13h30 à 19h.

Pour cette édition, après un long travail de sensibilisation et d’information, 10 projets ont été retenus par l’équipe d’organisation. Voici l’occasion de rencontrer 10 expériences, 10 pays, 10 démarches différentes pour rencontrer une Afrique intime, différente et humaine, loin des clichés habituels. La force des ces clichés réside dans le regard attentif et respectueux posé par les photographes amateurs.

Vues d’Afrique s’affirme comme le temps important d’échange, de partage, d’expérience de vie qui vont de la découverte, au parcours de la vie d’une famille durant deux longues années, à la faune.

C’est l’occasion rêvée de venir partager ces instants, et de prendre des idées pour de futures expositions.

Vernissage au Kursael, 8 novembre à 18:00.

Rencontre avec Alain Baptizet

Chasseurs d’images insolites et artisan cinéaste, Alain Baptizet est passionné par l’Afrique Noire et particulièrement par le Cameroun. À travers ses récits de tournages ponctués d’anecdotes, il se propose de vous faire connaître et de vous transmettre sa passion…

Salle Ory (au dessus du Grand Kursaal), 9 novembre à 20:30.

Yves Regaldi et Armand Spicher dédicacent leur livre « Mana Wana »

MANA WANA

Dédicace le 13 novembre à 14:00, Salle Proudhon.

Association KAYA (Delphine THYRODE, Lisa FROMONT, Claire DURAND) - Les femmes potières de Bolou au Togo

kayaL’association KAYA « Kadodo Adodue Yovo Ameyibo » qui peut se traduire par « Lien Durable entre Blancs et Noirs » en évé, la langue principale parlée au Togo a été crée en 2007 par quatre futures professeurs des écoles pour participer à un chantier de soutien scolaire au Togo.

Depuis, plusieurs membres de l’association sont retournés chaque été au Togo en 2008 et en 2009. Nous travaillons avec une association partenaire togolaise qui se nomme PAE (Pour un Avenir ensoleillé) et qui sont des personnes ressources et de confiance pour nous sur place.

Quand on rentre d’Afrique, ce n’est pas facile de raconter son voyage. On a envie de le raconter à tout le monde mais les mots ne viennent pas. Nos photos sont un bon outil de communication et permettent de « raconter » petit à petit nos impressions et ce que l’on retiendra de nos voyages.

Au milieu de nos centaines de photos de paysages, d’enfants, et de vie africaine, nous avons choisi de présenter « Les femmes de Bolou et la confection des pots » dont l‘énergie nous a bluffé.

Michaël VINCENT - Afrique du Sud

photo-identite-Michael-VINCENTUn voyage extraordinaire :

6 mois, 30 frontières, 15 pays, 15000 km, zéro crevaisons,  4000 photos après triage, 1 camping car de 1982 et les 4 Vincents.

Lorsque nous sommes partis en octobre 2008, nous savions que nous allions vivre une expérience extraordinaire, mais nous n’en n’imaginions ni l’intensité ni la richesse.

2 ans plus tard les photos maintiennent et animent les souvenirs.

Nous sommes heureux de vous faire partager ces quelques vues de l’Afrique du Sud du coté ville et si vous ne deviez retenir qu‘une chose de cette exposition ce serait qu’il n’y a pas UNE Afrique mais plutôt DES Afrique(s).

Michaël, Renée, Daryl et Jodie .

Sony DHC HX5,  idéal !

Afrique_du_sud_-Michael_VINCENT-


Patricia VIEILLE, Stéphane RABBE - Femmes dogon, Mali

patricia-VieilleAu-delà de nos différences

Quel lien entre une potière du Pays Dogon et une employée de banque de Franche-Comté ?

Fin 2009, le Comité d’Entreprise du Crédit Agricole de Franche-Comté a permis à une quarantaine d’employés (et conjoints) de se rendre au Mali pour visiter le pays Dogon, et surtout rencontrer et vivre avec les « irréductibles gaulois » que sont les dogons face aux armées du modernisme et du tourisme outrancier.

Le séjour était placé sous le signe de la solidarité : par le choix de la compagnie aérienne, Point Afrique, qui œuvre depuis de nombreuses années au désenclavement et au développement respectueux de la zone sub-sahélienne ; par le choix de l’agence de voyage,

L’Harmattan Solidaire, une agence locale créée, dirigée et animée par des dogons et consacrant une partie de ses fonds à la solidarité et au développement mesuré des villages visités ; par le choix du séjour enfin qui permettait de résider plusieurs jours dans le même village et partager la vie, le travail, les joies, les difficultés des habitants.

De nombreuses photos ont bien sûr été ramenées de ce voyage inoubliable. La sélection s’est portée sur l’image peut-être la plus forte : la contribution prépondérante des femmes dans le développement possible de l’Afrique, notamment par leur travail.

Plus que l’esthétisme des images, c’est un hommage au courage et à la solidarité.

 

photo-patricia-Vieille

 

Philippe RACAMIER - 1 cadre représentant l'Afrique

racamierNaturaliste de formation ( Etudes Universitaires de Biologie Animal ) et photographe depuis 1974.

Nombreux voyages, expéditions, missions d'études, accompagnateur pour des méharées... en Afrique (surtout Sahara et Afrique du Nord), depuis 1985. Avec de nombreux intérêts, au delà de la photographie, comme la vie sous toutes ses formes ( animale, végétale, humaine ), la découverte, les rencontres, les paysages, les ambiances, la pureté des lignes graphiques (dans les déserts, bien sûr ), etc...Depuis 1991: travail photographique autour d'objets métalliques abandonnés et rouillés.

La photographie unique en grand format que je présente est issue de la série, intitulée "Occidé" , a pour objet, outre le coté graphique et coloré, une réflexion amusée sur notre relation avec la Nature et avec le "reste" du monde !

Vincent MUDRY - Photos des villages semi nomades du Soudan

mudryDes premiers souvenirs de vacances passées au Maroc à mes années d’enfance au Sénégal, l’Afrique a été pour moi une expérience, de celles qui font ouvrir les yeux et grandir. Les rapports humains et les réalités sociales, le fantasme d’un monde où le temps n’a pas la même valeur et où tout semble plus simple, le regard de l’autre pour qui on est différent, sont un ensemble de sentiments et d’émotions éprouvés qui ont, peu à peu forgé la personne que je suis.

Ce n’est pourtant pas l’Afrique des couleurs chatoyantes et des sourires photogéniques que je parcours avec Médecins Sans Frontières, mais plutôt celle des conflits armés, des massacres et des épidémies de cholera, leurs lots de réfugiés et de souffrances.

Les photos que je propose essayent de montrer au travers du prisme de l’objectif d’un khawagi*, des populations semi nomades du Soudan (Nuers et Arabes) qui sont souvent en décalage par rapport au reste de la population. On les trouve dans des atmosphères poussiéreuses, brumeuses et enfumées avec leur animaux. Ces quelques photos permettront j’espère, d’entrer un peu dans l’intimité du petit matin, de ces peuples qui bien que souvent en conflit se ressemblent beaucoup et dont les conséquences de leurs Kalachnikovs légitiment notre présence humanitaire.

*Etranger en arabe soudanais

Claire SCHMITZ - Le Dallol et les caravaniers du sel, Ethiopie

claire-SHMITZAprès 40 ans de travail dans l'Education Spécialisée, et bénévole à Artisans du Monde, mon temps choisi se consacre aux voyages.
L'Ethiopie, notamment le DALLOL, est tellement riche en couleurs, et autres concrétions salines et sulfureuses, qu'elle m'a epoustouflée !
Seuls les caravaniers du sel vivent dans ce désert du DANAKIL et nous laissent admiratifs devant ce travail
exténuant, c'est pourquoi ils ont été surnommés les "forçats du sel".
Avec ces photos d'amateur, prises en Février 2010, avec un appareil peu sophistiqué,  j'espère à l'occasion de cette expo, vous sensibiliser à d'autres cultures et vous donner envie de découvrir ce pays magnifique.
Le DALLOL, cratère unique au monde dans le désert du DANAKIL, au Nord Est de l'Ethiopie, nous fait découvrir ses curieuses formations géologiques : sources chaudes acides, colonnes de sel, solidifications de soufre, de magnésium, de saumure et de soude, sur un fond blanc, vert, jaune et rouge ocre.
La seule activité humaine est l'exploitation du sel dans ce lieu inhospitalier. Nous pouvons voir le passage incessant des caravanes chargées de sel dans la brume du matin. 1 000 bêtes se croisent chaque jour.
Sous un soleil cuisant (la température descendant rarement sous 45°), les ouvriers, dans un silence entrecoupé des cris des dromadaires et des ânes, cassent la croûte de sel à la hache, et la détachent, avec comme seuls leviers des bâtons de bois. Ces plaques, de 12 kg environ, sont ensuite calibrées et chargées sur les dromadaires.
Les caravaniers remontent ces charges de -80 mètres à plus de 2 000 mètres d'altitude, jusqu'à MEKELE pour la vente de leur production au Sud de l'Ethiopie.
Ces travailleurs sont appelés "forçats" du sel tellement leur tâche est ardue. Mais ce travail existe depuis le règne de la reine de SABA. (Soit depuis 3 000 ans)
Malheureusement, les Chinois tracent une nouvelle route dans ce désert, cela permettra un transport plus aisé des plaques de sel en camion, mais supprimera de nombreux emplois de caravaniers, qui à ce jour peuvent vivre décemment malgré leurs conditions de travail difficile.
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Alain MENIGOZ - Vie et visages quotidiens en Pays Dogon (Mali)

menigozEnseignant (docteur en Sciences du langage, Sémiotique et Didactique, spécialiste de l'enseignement du Français Langue Seconde pour les pays africains francophones), je suis aussi Président du Comité de Jumelages de Maîche avec Kressbronn am Bodensee et avec Ondougou, commune du Plateau Dogon au Mali. Nous y travaillons depuis 20 ans (eau, santé, scolarisation...) J'ai effectué 36 voyages au Mali et en Pays Dogon.

J'ai organisé l'an dernier un voyage de découvertes du Plateau Dogon et de la moitié de la falaise de Bandiagara d’où viennent les photos présentées.

J'ai déjà exposé des photos à Maiche bien sûr, à Besançon, à Strasbourg, en Allemagne (Bayreuth, Stuttgart, Friedrichshafen, Kressbronn...)

Jean-Yves ROBERT - Enfants malgaches, Madagascar

robertConservateur au Muséum de Besançon à la Citadelle, je suis en charge des collections vivantes d’espèces animales menacées. J’ai déjà effectué 6 voyages à Madagascar, dont 2 dans le cadre de missions soutenues par la Ville de Besançon pour la préservation de lémuriens menacés (mai 2008 et mai 2010). Tous ces voyages sont naturalistes pour l’étude et la sauvegarde de la biodiversité malgache exceptionnelle par son taux d’endémisme (80% des espèces n’existent nulle part ailleurs dans le monde). Mais cette démarche ne peut pas être envisagée sans s’occuper des habitants locaux vus leurs conditions de vie si difficiles. Ainsi, les programmes de conservation ex situ (en captivité) et in situ (dans la nature) de deux espèces de lémuriens très rares (Grand Hapalémur et Propithèque couronné), s’accompagnent aussi du soutien des populations locales par des aides financières, en particulier pour le développement de la scolarité des enfants.

« Enfants malgaches »

Madagascar est un pays très pauvre où les conditions de vie des enfants sont très difficiles, sans pour autant les rendre tristes ! Dans certaines zones reculées, ils sont surpris de voir passer un « vasaha » (homme blanc) mais quand on est humain, l’étonnement est souvent réciproque. Ces enfants pauvres et démunis de tout sont toujours heureux en jouant avec des choses simples n’existant plus dans nos sociétés modernes. Ces observations font réfléchir aux choses vraiment indispensables à la vie ! Sur un plan ethnologique, le mystère du peuplement humain de Madagascar reste une énigme. Les premiers hommes sont arrivés il y a environ 2000 ans d’Indonésie, rejoints plus tard par d’autres d’Afrique du Nord et d’Afrique noire. Mœurs et coutumes sont donc très différentes selon les zones géographiques et on compte aujourd’hui 18 ethnies malgaches. Six sont représentées dans ces photos d’enfants malgaches.
photo-Robert

Benoit QUINTARD et Mélanie BERTHET - Animaux dans leur milieu, Namibie

BenoitUne passion commune pour la faune sauvage nous a tous les deux conduit à des études de vétérinaires. Travaillant actuellement pour les secteurs zoologiques du Muséum de Besançon à la Citadelle et le jardin zoologique et botanique de Mulhouse, nous nous investissons au quotidien dans le soin d’espèces menacées ainsi que dans des projets de conservation de ces espèces rares dans leur milieu d’origine. Nos voyages aux quatre coins du monde nous permettent régulièrement d’observer ces espèces à l’état sauvage et de comprendre les problématiques de conservation au contact d’autres cultures.

Sur les pistes de Namibie....

Au cours d’un safari dans ce pays magnifique en août 2008, nous avons observé de nombreuses espèces animales. Vivant dans des milieux très différents, entre désert de sable rouge et savane dorée à perte de vue, ces espèces sont incroyablement adaptées à leur milieu tantôt végétal, tantôt minéral... A travers ces images, nous avons voulu vous faire partager l’ambiance d’un pays qui nous a impressionné par la grandeur et la diversité de ses paysages.

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Christian JEANTELET - Rencontre avec les populations semi-nomades du Sud Algérien

jeanteletAgé de 54 ans, franc-comtois d’origine, je demeure près de Besançon et exerce mon activité professionnelle dans cette ville.
Passionné par les voyages,  par l’Afrique en particulier et par la photographie, j’ai pu, à plusieurs reprises séjourner en Mauritanie, en Lybie, au Mali, au Niger, en Tunisie, en Algérie, au Maroc.

Les clichés que j’ai souhaité partager avec le public de l’exposition « Lumières d’Afrique » ont été pris à l’automne 2008 dans le Sud Algérien.

Ces photos n’ont d’autre prétention que d’apporter un témoignage de la vie quotidienne des populations semi-nomades qui vivent dans cette région de l’Algérie. Puisse ce modeste « compte rendu » photographique faciliter une meilleure acceptation des diversités, et conduire à plus de tolérance et d’humanisme...

Christian JEANTELET - La paille, un bien précieux pour les populations des villages nigériens, Niger

Christian-JeanteletOriginaire de Franche-Comté, mon intérêt pour les voyages et ma passion pour la photographie m’ont conduit à séjourner à différentes reprises en Afrique et notamment en Mauritanie, Algérie, Maroc, Libye, Mali, Niger…
C’est dans un village du Niger, à 150 kilomètres de Niamey que j’ai capturé les quelques photos qui sont présentées dans le cadre de l’exposition « Vues d’Afrique ». Elles témoignent de l’importance et de l’omniprésence de la paille dans la vie quotidienne d’un village Nigérien.
La paille, si elle constitue une source de fourrage ou de litière pour le bétail, fait également l’objet d’une valorisation maximale par les populations africaines. Les conditions climatiques permettent de l’utiliser comme matériau de construction des habitations traditionnelles.
Provenant de différents végétaux elle est également tressée pour constituer des tapis de sol  de différentes couleurs : l’esthétique se joint alors à l’utile !
Bon voyage à tous…
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Marcel HOEUILLARD - Les femmes au pays des hommes intègres, Burkina Faso

marcel-HoueuillardEn 1987, alors impliqué dans un projet de construction d’école primaire au Burkina-Faso,je suis enseignant globe trotter et je découvre l’Afrique.

Depuis, j’ai fondé avec quelques collègues l’association AFRIQ’ENERGIES que je préside et j’ai entraîné de nombreux élèves du lycée Pierre Adrien PÄRIS de Besançon dans des projets de développement. Les actions menées, tous les 2 ans sur le terrain après une préparation d’une année scolaire, ont pour objectifs : l’éducation, la formation, le développement économique, la sauvegarde du patrimoine, la découverte culturelle et le bénévolat.

Par ailleurs, mon intérêt pour la photographie m’ont conduit au fil des années à prendre de nombreux clichés sur différents thèmes. C’est «Les Femmes au pays des hommes intègres » que j’ai choisi pour cette exposition.

En effet, ému par leur courage, leur dignité et leur beauté, j’ai souhaité évoquer ici la place prépondérante qu’elles occupent dans la société par leur rôle d’éducatrice mais aussi par leur implication dans la vie culturelle, sociale et économique.

 

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Marie Noelle et Christian EPENOY - Photos du pays Dogon au Mali, cérémonie

epenoyAmoureux de l'Afrique depuis de nombreuses années, et notamment des régions saharienne et subsaharienne, nous avons eu le bonheur de nous immerger dans le quotidien des habitants du Pays Dogon au MALI en février/mars 2009.

Ce voyage riche d'émotions et de rencontres a pu se réaliser grâce à l'association de jumelage MAICHE/ONDOUGOU/KRESSBRONN.
Au cours de la 2ème semaine, nous avons randonné, dans la Falaise de BANDIAGARA, paysages fabuleux de villages troglodytiques et d'édifices en terre imprégnés de tradition, de respect des anciens et d'animisme.

Le peuple DOGON nous a profondément ému par son accueil inoubliable, son sens de la fête et son désir de communiquer. Ce sont ces instants de couleurs, de foules, d'ambiance festive que nous avons voulu modestement vous faire partager à travers ces photos.

Umberto CACCHIONE - Une journée à Tohoué, Bénin

Umberto_portraitAmateur de photos depuis très longtemps, je commence, adolescent, à  faire de la photo pour illustrer les articles que j’écris dans un  petit fanzine local. Ce goût du photojournalisme ne me passera  jamais vraiment.

Une journée à Tohoué

Cette collection de 10 photographies est tirée d'une série réalisée  lors d'un 3e voyage que j’effectue en 2010 au Bénin dans le petit  village de Tohoue, proche de Porto-Novo. C'est dans le cadre d'une  action solidaire, avec l'association Volodalen, que j’établis petit à  petit des liens avec les enfants du village pour lesquels sont  destinées les différentes actions menées là-bas. "Une journée à  Tohoué" est un mini-reportage sur la vie et les rencontres faites  pendant cette période de 15 jours, immergé au beau milieu de la  population avec le soucis, par exemple, de découvrir comment allumer  son brazero à l'aide d'un mauvais charbon local et de sacs plastiques  servant d'allume-feu afin de pouvoir cuisiner les quelques maigres  ingrédients locaux... moments émouvants par ailleurs avec ces enfants  qui proposent d'écrire une lettre aux enfants de France afin de leur  proposer de l'argent pour qu'ils puissent venir dans leur village  pour faire un tournoi de foot...
Umberto_photo_expo

Alain COUPEY - Images du Sénégal

coupeyJeune retraité de l’enseignement (sciences-physiques en collège, lycée, IUT de Chimie).

Huit années de coopération dans un lycée de St-Louis au Sénégal de 1974 à 1982, m'ont permis de découvrir l'Afrique de l'ouest et les africains. Dépaysement total avec des gens très attachants.

Les photos présentées ont toutes été prises au Sénégal lors de ma coopération et sont extraites d'une collection très importante. Avec d'autres, elles ont déjà été présentées dans des expositions à Lille et circulent dans des écoles de la région Nord-Pas de Calais, ceci dans le cadre du partenariat entre cette région et la région du fleuve au Sénégal. (http://www.lepartenariat.org).

Claire COLAS - Delta intérieur du Niger au Mali

colasMaman de trois enfants et deux fois grand-mère j’ai des activités bénévoles dans divers secteurs (Bibliothèque des Malades au CHU de Besançon, Famille Rurale à Nancray (25), Animation au Collège Mont-Roland de Dole).

Passionnée de photo depuis 1964, ma motivation première pour participer à cette exposition est de  rencontrer des gens qui aiment l'Afrique, qui se posent des questions, qui ont un regard et une expérience différents des miens, discuter, apprécier leur travail photographique.

Mes photos  proviennent du Mali où depuis 1995 nous effectuons un séjour chaque année, à l'hôpital de Mopti dans le cadre d'une mission de Médecins du Monde (Fistules Obstétricales). Peu de tourisme, notre environnement se limite le plus souvent à la cour de l'hôpital, ou à ses environs immédiats. Pourtant, les contacts sont nombreux et enrichissants, car répétés chaque année.

Annie BORSOTTI - Architecture de terre, région de Ouarzazate, Maroc

Annie-BorsattiPhotographe amateur, avec un bout du coeur en Afrique... Premier voyage en 1983 en Haute Volta devenue pendant la nuit du retour Burkina Faso, puis Tunisie, Algérie, Niger, Mali, bientôt Sénégal, la découverte de nouveaux horizons me donnent toujours plus envie d'autres belles rencontres...

Architecture de terre (Région de Ouarzazate, Maroc)

Habitée par le goût du désert et bouleversée en 2000 par la découverte de l'œuvre de Jacques Majorelle à l'Institut du monde arabe, j'avais très envie de découvrir le sud marocain et ses architectures de terre. Finalement, c'est en 2005 que j'y ai effectué un court voyage, quittant vite Marrakech pour préférer le sud du Moyen Atlas, à partir de Ouarzazate (appelée La porte du désert) jusqu'au bout de la vallée du Draâ. Tout ici est couleur de terre, ocre, rose, parfois verte, utilisée par le passé de façon prodigieuse pour la construction de kasbahs et de ksars, dont celui de Aït Benhaddou, classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Hélas, le temps fait son œuvre et les murs fragiles en subissent les outrages, pendant que se construisent les habitations nouvelles en parpaings, plus faciles à entretenir. La terre, heureusement, permet encore la fabrication artisanale de belles poteries.
photo-Borsotti

Michel Bétourné - Habitations troglodytiques de Matmata, Tunisie

michel-BETOURNERetraité.
Toute sa carrière dans l’agriculture : conseiller agricole en Picardie, enseignant des sciences techniques agricoles et économiques au Maroc et en France ( en Auvergne, en Franche-Comté).
Amateur de randonnées en France et à l’étranger avec une préférence pour le style routard, sacs à dos et transport en commun, appareil photo presque toujours prêt, aimant autant la ville que la campagne avec une prédilection pour les civilisations rurales traditionnelles.
Sujets photographiques préférés : la nature, les objets fabriqués artisanalement, les marchés traditionnels, les monuments.

Habitations troglodytiques de Matmata

Matmata est un village du sud tunisien de plus de 1 500 habitants, en bordure sud-orientale du Chott El Djerid., caractérisé par des températures fréquemment caniculaires.

Il lui reste de nombreuses maisons troglodytiques qui se  répartissent le long des parois calcaires à environ 600 m d’altitude.

Ces maisons, très anciennes (plusieurs centaines d’années), servent non seulement parfois de refuge contre voleurs ou envahisseurs mais surtout de protection contre les excès climatiques dans cette région très chaude : un puit central profond d’une dizaine de mètres, d’une surface de quelques dizaines de m2 sert de cour intérieure. Tout autour dans la roche sont creusées horizontalement des pièces servant de chambres, de cuisine, d’étables pour les chèvres.

Matmata

Umberto CACCHIONE - Enfants du Bénin Debout

cacchione“Ces clichés, datant de juin 2009, ont été pris lors d'un second voyage que j'ai effectué dans le cadre d'une action solidaire dans le village de Tohoue à 10 km de Porto-Novo, capitale du Bénin, action liée aux très nombreux enfants de ce village, qui, tous les lundis matin, devant le drapeau béninois hissé au-dessus de leur école, et dirigés par le directeur, chantent haut et fort leur hymne national...”

Annie BORSOTTI - Une autre vision du sud Tunisien

borsottiPhotographe amateur depuis de nombreuses années. Quelques voyages en Afrique subsaharienne à la fin des années 80. Depuis 8 ans, nombreux  séjours en Tunisie, particulièrement à Tunis et dans le sud. Goût prononcé pour le désert, la randonnée, les aspects de la vie traditionnelle.

Les photos ont été prises dans la ville-oasis de Douz, qui se situe au sud du Chott Jerid, à environ 150 km de Tozeur, région du Nefzaoua, en bordure du Grand erg oriental.

L’idée est de montrer des aspects de la Tunisie authentique, loin des clichés en bleu et blanc des côtes touristiques.

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