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Courts métrage de fiction

 

Certains l’aiment court

Courts-métrages de fiction en compétition au festival Lumières d’Afrique

Jeudi 31 octobre 20h30 au HJT les oiseaux, entrée libre

CHIKHA

Un film de Zahoua Raji & Ayoub Layoussifi / 2024 / Maroc / 25’
Bac en poche, Fatine est tiraillée entre deux voix opposées : soit perpétuer la tradition artistique familiale, soit mener une vie plus rangée avec son amoureux Youssef, qui dénigre son héritage artistique sulfureux.

WHAT ELSE GROWS ON THE PALM OF YOUR HANDS ?

Un film de Dhiaa Biya / 2023 / Maroc / 16’
La vie de Hayat est monotone et répétitive. Les petits détails de sa vie ressemble à celle de sa grand-mère. L’amour qui les unifie surpasse le temps et les mènent vers une juxtaposition poétique de leurs petits événements quotidiens.

BETTER THAN EARTH

Un film de Sherif El Bendary / 2024 / Égypte / 24’
Radwa, une jeune étudiante de 20 ans vivant dans un foyer universitaire pour filles au Caire, décide d’aller se plaindre auprès de la surveillante en chef Magda : sa colocataire, Sarah, la harcèle.

ALAZAR

Un film de Beza Hailu Lemma / 2024 / Éthiopie / 35’
Dans l’Éthiopie contemporaine, l’exode d’une communauté paysanne est interrompu lorsque le patriarche d’une famille importante disparaît de sa tombe. Tessema, son fils, commence à remettre en question l’explication divine de l’Église, l’obligeant à lancer sa propre enquête.

SOL BÉNI

Un film du Collectif Bleunuit / 2023 / Côte d’Ivoire / 11’
Face à la perspective d’un adieu proche, deux amis se retrouvent sur le terrain de football où ils ont grandi. Alors que l’un est sur le point de partir, l’autre est immergé dans la nostalgie des jours passés.

Exposition : Madagascar Rues 2022-2024

Du 4 au 30 Novembre aux Bains Douches

Entrée libre

Exposition : Madagascar Rues 2022 - 2024

Photographies : Pierre-Yves Mathieu

 

Originaire du Jura, c’est un grand voyageur passionné de photographie et depuis ses premières
expositions en 1985 (des tirages argentiques de 1,50/1m), son travail a évolué vers la photographie
de rues et aussi de paysages, alors qu’il était plutôt déterminé par les décors et les scènes maîtrisés.
En janvier 2015, invité par un ami qui y était établi depuis 5 ans pour servir comme bénévole dans
une ONG, il a découvert Madagascar, qui a accaparé toute mon émotion . Son inspiration et son
énergie se sont attachées à lÎle Rouge et à sa population, toutes deux d’une beauté infinie, évoluant -
souvent en état de survie- parmi les reliquats des fastes d’une civilisation passée, et les vestiges de la
colonisation française qui l’ont définitivement écrasée pendant 60 années. Il y est retourné plusieurs
fois depuis 2015 et y réside depuis fin 2023.


Il a établi une relation particulière avec ce pays singulier et ses habitants. Dans la campagne, le
photographe va à leur rythme. En ville, il travaille vite. Il parcourt les rues d’un pas rapide, parfois tôt,
il ne s’attarde pas pour ne pas attirer inutilement l’attention. Du coup, ses photographies sont des
instantanés de la vie malgache, riches en couleurs et en formes contrastées, en regards et en
expressions prises sur le vif. Mais autant il déclenche à la vitesse de la lumière, autant il prend le
temps de parler de sa manière de voir « l’île rouge ».

Edito 2024

 Une édition en demi teinte mais une édition quand même !

La préparation d’un festival est une veille, un engagement de tous les instants pour identifier certes les films et documentaires (ADN du festival), mais aussi continuer tout au long de l’année des rencontres, contacts, visites, expositions, spectacle vivant, dégustation, partenariat…pour proposer début novembre un large panorama des richesses artistiques et créatives issues du continent africain
à Besançon.
Un travail constant avec les associations étudiantes de plus en plus actives, avec les diasporas et les nombreux acteurs qui mettent en lumière le grand continent , à l’image du passage au festival « livres dans la boucle » de Gael Faye pour la dédicace de son dernier roman (400 ventes en deux jours) et une salle comble pour l’adaptation de son premier roman à l’écran « Petit pays ».
A la demande de beaucoup, même si cela était induit « Lumières d’Afrique » est désormais le Festival International des Cinémas d’Afrique de Besançon. Le rayonnement depuis 1996 de cette initiative bénévole est connu, « Lumière d’Afrique » étant le plus ancien festival de cinémas d’Afrique de France sous cette forme.
Par contre, force est de constater que nul n’est prophète dans son pays ! Dans la ville natale des
frères Lumière, la salle art et essai ne répond plus, le multiplexe du centre ville ne souhaite plus notre
présence et la salle municipale multimodale nous a oubliée… Heureusement restent des partenariats
fidèles au HJT les oiseaux et une expérience au Scénacle pour des projections.
La competiton des documentaires placée sous le regard d’un jury de professionnel revient, mais
aucun long métrage de fiction ne sera présenté cette année, malgré de superbes propositions
retenues, faute de lieu adapté pour projeter.
Ajouté à cela la forte baisse des aides publiques et la forte hausse des charges induites, nous avons
décidé un appel à don et à mécènes avec de bons résultats encore à compléter jusque fin d’année
(avec déduction fiscale). Les liens sont sur le site du festival.
Sur cette 24 e édition : 35 films, 24 pays, 20 séances. Un focus Rwanda avec la 30 e année de la fin du
génocide. La proposition pour le jeune public « afrimôme » revient avec une séance gratuite d’un film
incontournable et l’appui de la cuisine centrale de la ville avec un repas aux saveurs d’Afrique dans
toutes les cantines.
La musique est là avec de beaux événements dont « Besakin » , la restitution mise en images par
Benoit Bizard du grand projet de green shop entre Besançon et la République Démocratique du
Congo .
Enfin pour la première fois une séance à la prison de Besançon avec un réalisateur qui accepte de
venir partager son travail. Il sera aussi dans un Lycée.
Voilà, des hauts et des bas pour cette édition à venir, mais les équipes ne baissent pas les bras et
espèrent retrouver le public fidèle et curieux.


Gérard Marion – Directeur du festival

Photographie : Amber Van Schendel

Musique : Black voices DJ / Black Voices combo

Samedi 9 novembre à 20h30 au BAR DE LU 
Entrée 3 euros (2euros pour les étudiants)

BLACK VOICES COMBO 

AFRO, TROPICAL & SALSA au rendez vous avec une ambiance années 60-70-80 avec vinyles et percussions

Avec une ambiance CUBAFRICA des années 60-70-80 à aujourd'hui avec un mix de salsa panafricaines, de rumba, de musiques antillaises, d'effluves cubaines portoricaines ou colombienne, du makossa, des coladeiras cap verdienne....
BLACK VOICES COMBO vous prépare d’ incroyables sélections
Cette formule détonante de BESANÇON a fait danser de la FRANCE, à la SUISSE en passant par la BELGIQUE en 1ere partie ou after show de différents artistes de renom : Flavia Coehlo, Fatoumata DIAWARA, Winston MC ANUFF, La Dame Blanche, Keziah Jones, Maceo Parker, Vaudou Game, Asa, Ayo, Lindigo, Calypso Rose, La Yegros, le Tp Poly Rythmo de Cotonou, Faada Freddy, Titi Robin, Staff Benda Bilili....
line up : FABRICE DAGOBERT percussionniste (congas/bongos).
Mat BLACK VOICES (DJ vinyles / animateur radio /conférencier)

 

Documentaire : Bezakin by Green Shop

Samedi 2 Novembre à 20h au Scènacle - Tarif unique : 5€

BEZAKIN

Documentaire / 60 min
Réalisation Benoît BIZARD

Entre Besançon et Kinshasa, six mille kilomètres.
 

Réservez vos places ici

 
José, MC / chanteur du groupe Green Shop, y est né.
Pour lui, ce voyage est un véritable retour au pays natal après bien des années.
À ses côtés, Aurélien, Zo et Claudio, ses “frères de son” qui apportent chacun une touche et une sensibilité personnelle au projet. Leur objectif : une résidence culturelle d’une semaine dans la capitale congolaise.
 
Mais aucun des quatre musiciens ne s’attend à un plongeon d’une telle intensité dans la folie kinoise, au milieu d'artistes, danseurs, musiciens, slameurs et autres créateurs tous plus talentueux les uns que les autres. Un bain de jouvence brut, éreintant, saturé, qui va les émerveiller, les bousculer, les transformer.
 
Il y aura un avant et un après Kinshasa.

Le projet Bezakin, porté par le label bisontin Madiba Dharma, a bénéficié du soutien de la Ville de Besançon, du Conseil Régional de BFC, de la Drac, de la DREETS, du CNM, et de la  collaboration de la Rodia.

 

 

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